Ma logique, illogique ….

Les 2 dernières semaines m’ont permis de mettre bien des choses dans ma vie en perspective.

Je me suis rendu compte que je me privais de bien de chose que j’aimais et que je voulais faire et à cause de quoi au final ? La peur, oui, la peur.

Je me privais d’être qui je suis vraiment et d’agir de manière que j’aurais fait habituellement naturellement, j’étais renfermé, j’étais dans ma coquille.

Les actions que normalement j’aurais faites de manière spontanée ne venaient plus de moi-même, j’étais rendu rigide et fermé à tout, me privant de faire des choses qui m’auraient rendu heureux et qui auraient rendu celle que j’aime heureuse également.

Je me refusais d’être heureux, j’auto sabotais mon couple, j’avais mal, et le plus ironique dans tout ça, j’avais peur de te perdre. Comme de quoi ma logique n’est pas toujours au rendez-vous.

J’agissais de manière irrationnelle, tu me donnais des solutions et je les refusais une après l’autre, tu t’es battue pour moi et je n’ai pas réalisé à quel point je comptais à tes yeux, pour que tu fasses tous ces efforts pour moi. Je te disais que tu ne m’apportais rien, mais en fait tu essayais de nous rendre heureux, mais moi j’ai été stupide je ne m’en rendais pas compte.

Maintenant je me rends compte de tout ça, et j’espère qu’il n’est pas trop tard pour te démontrer que je peux être vraiment quelqu’un de bien qui te convient.

Ton départ.

Je n’ai pas été à la hauteur, je ne tais pas écouter comme j’aurais dû le faire et je n’ai pas été présent comme j’aurais l’être pour toi.

Je n’ai pas été l’homme que j’aurais d’u être, car je n’étais pas moi-même et j’ai mal à cause de ça.

J’ai été renfermé sur moi-même et je n’ai pas été en mesure de faire des gestes que normalement j’aurais dû faire par moi-même pour et démontré mon amour.

Le temps est passé et tu t’éloignais de plus en plus de moi et je ne s’avais pas quoi faire, j’étais figé, mort de peur et j’étais sur qu’a un moment tu finirais par partir de ma vie peut importe ce que je fasse pour toi.

Pendant que cette peur grandissait avec le temps et que les disputes se multipliaient, je voyais bien que ton amour diminuait et j’avais mal, j’avais l’impression qu’un couteau était enfoncé dans mon cœur et que je n’étais plus capable de le retirer.

J’étais en train de te perdre, tu faisais chambre à part et je me sentais tellement seul, tu croyais que je dormais mieux sans toi, mais c’était loin d’être le cas. Ta présence à mes côtés me manquais et à un tel point que tu ne peux l’imaginer.

Les jours passaient et je te sentais plus distante, j’étais tellement triste, je te voyais devenir de plus en plus indifférente, mais moi je n’agissais pas en bien pour résoudre la situation, je l’empirais.

J’aurais tellement aimé agir comme je suis vraiment, j’ai laissé mes peurs dictées sur ma conduite et la rigidité me fermer sur mes émotions. Résultats maintenant tu es avec un autre et moi je suis anéanti et je continue à espérer ton retour, même si je sais que les chances sont faibles je continue a garder espoir.

La gestion des émotions invasive.

Vite lu comme ça, ça semble bien banal n’est-ce pas ? Et bien je vous assure que non, vous n’avez même pas idée à quel point cela demande de l’énergie et de la résilience. Pour les gens en général, la gestion de leur émotion est plus aisée et on rarement des moments, ou celle-ci deviennent intrusive ou invasive et ne leur causeras pas des problèmes et à les empêcher de fonctionner normalement au quotidien. Mais pour moi il en est tout autrement, une situation qui pourrait être banale pour certaines personnes devient vite omniprésente et m’empêche rapidement d’agir normalement. Mais que ce passe-t-il exactement quand ça m’arrive ? Quand les émotions deviennent au point de ne plus être gérable et prennent toute la place ? Imaginer que vous êtes dans une pièce du style de votre salle de bain, mais que vous vous y êtes enfermer, mais que par la même occasion, de l’eau si introduit et quelle monte rapidement et que vous n’avez aucune manière d’y en sortir. Vous me suivez jusqu’à présent ? Oui parfait et bien revenons à cette situation qu’on peut dire envahissante. Les émotions prennent rapidement le dessus, vous sentez la panique et la peur monter et vous ne pouvez absolument rien y faire. Alors dans l’exemple dont je faisais mention un peu plus haut c’est la même chose qui se produit dans un certain type d’événement pour moi, et je peux citer en autre, le rejet et l’abandon. Ceux-ci sont par définition très difficiles pour moi à gérer et se transforment vite en réaction que je ne sais plus gérer. Voilà sur ce que je travaille présentement, gérer ses émotions, ce sera tout un travail pour moi à faire sur moi-même en 2024. Je reste néanmoins positif et vois déjà certaines améliorations.

La Rigidité

Oui je l’avoue je suis rigide, et je travaille à ne plus l’être, car en bout du compte ça n’aura jamais rien donné de bon pour moi, autant dans ma vie amoureuse, que personnelle ou familiale.

Mais être rigide c’est quoi exactement ? Et là je ne parle pas d’un muscle qui est raide, mais bien d’une manière d’agir et de réagir à des situations données.

La rigidité et quand nous sommes attachés à nos idée, désir ou gout, mais d’une manière exagérée. Quand on croit que seule notre manière est la bonne et que nous imposons celle-ci aux autres.

La rigidité dans mon cas était un peu trop bien intégrée à ma routine et quand les choses allaient dans ce sens, je me sentais en sécurité. Mais le côté vicieux de ce défaut, c’est que ça nous empêche d’évoluer ou d’essayer de nouvelle chose et ça c’est mauvais, mais j’avais peur, j’avais peur du changement et je ne sentais pas bien là-dedans, je restais également fermer sur mes idées de peur de ne pas aimer ça ou d’être blesser.

Au final ça aura nui aux personnes que j’aime et également à des amis. Plusieurs relations auront souffert de ce trait que caractère qui me caractérise.

Cela m’aura pris plusieurs années pour m’en rendre compte et au final va m’avoir fait perdre des relations, donc ma dernière, auxquelles je tenais vraiment. Mais au bout du compte mes idées reste mes idées et ne devrait pas être imposées à personne, car chaque personne à ça bonne manière, qui pour lui/elle lui convient parfaitement.

Ce que je retiens de toute cette expérience de vie c’est que le lâcher-prise et l’aspect sur lequel je vais travailler, 2024 sera l’année ou je vais m’ouvrir à de nouvelles choses et finalement être heureux dans ma vie.  

Les recettes et l’IA

J’ai fait plusieurs recettes grâce à l’intelligence artificielle depuis environ 1 ou 2 mois et je dois dire qu’en général je suis très satisfait.

J’ai donc décidé de poster celle que j’ai aimée sur mon blogue.

C’est un nouveau départ

Certaines personnes vont faire une page Facebook, ou bien un site internet pour parler de leur cheminement de remise en forme. Dans mon cas j’ai décidé de faire de ce site, le résultat de ma démarche afin de retrouver une bonne santé psychologique. Mon cheminement au quotidien pour apprendre à m’aimer comme je suis, mais surtout l’accepter. Bref j’ai décidé que j’avais maintenant le droit d’être heureux.

Et si ce site réussi à faire réaliser à d’autres gens que la personne la plus importante dans leur vie, c’est eux même, bien je serais alors heureux d’avoir aidé d’autre que moi.

Sur ce, bonne lecture

Bienvenue sur mon blog!

Bienvenue sur mon blogue, ici vous trouverez un peu de tout, opinion, nouvelle techno, pensée, etc. … Je n’ai pas vraiment de sujet fixe et tout ce qui me passe par la tête y sera affiché.

Bonne lecture.

L’anxiété

J’ai trouver ce texte sur un site et je croit qu’il serait bien que je vous le partage car il représente bien ce que je vis (Peut-être en moins intense que ça par contre)

Je souffre de problèmes d’anxiété. Quand je dis ça, ça ne veut pas dire que je me ronge les ongles ou que j’ai tendance à être un peu stressé quand je vais chez le dentiste, non. Je souffre de troubles anxieux, il m’arrive d’avoir des accès de panique complètement irrationnels et j’ai passé le plus clair de mon existence d’adulte à tenter de comprendre et de contrôler cet aspect de moi-même.

Voici 9 choses que je voudrais que tout le monde puisse comprendre, comme par magie, à propos de l’anxiété et de ceux qui vivent avec cela.

  • L’anxiété vient parfois sans raison

Pour ceux qui traversent la vie sans problème d’anxiété, les émotions sont relativement prévisibles et ont une certaine logique : quelque chose vous arrive ou est susceptible de vous arriver, et en réponse vous ressentez de la peur. Mais pour une personne qui souffre de crises d’angoisse, cela ne se passe pas comme ça. Parfois, une petite chose peut avoir des répercussions incontrôlables dans notre tête, jusqu’à devenir complètement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la situation.

  1. Les crises d’anxiété ne sont pas logiques et notre comportement n’est pas rationnel… Et croyez-nous, nous en sommes bien conscients.

Vraiment, sérieusement, croyez-moi : on le sait. Cela ne sert à rien de nous dire que notre comportement est exagéré, qu’on “se fait des films” : c’est justement le propre de ce genre de trouble. Nous savons bien, bien sûr, que les choses que nous imaginons dans nos crises d’angoisse sont disproportionnées et qu’elles sont peu susceptibles de nous arriver. Et c’est justement ce qu’il y a de plus frustrant : Savoir qu’on est en train de paniquer pour une chose qui ne devrait pas (logiquement) nous paniquer, mais être incapable de contrôler cette émotion d’angoisse et de peur. C’est comme si on avait dans notre cerveau un système d’alarme incendie défectueux, qui enclencherait ses sirènes même à cause de la plus petite poussière ou de la fumée la plus légère.

  • Avec l’anxiété, il y a des bons comme des mauvais jours.

Bien sûr, tout le monde a ses mauvais jours et ses bons jours… Mais c’est encore plus vrai avec l’anxiété, et parfois les personnes qui en souffrent aimeraient bien que leur entourage proche se rende compte de ce que cela implique réellement : Il y a des jours où l’anxiété est plus forte que d’autres, et des jours où nous sommes calmes. Et cela influe sur la manière dont nous réagissons aux différentes situations, ce qui peut nous donner l’air imprévisibles.

  • Les crises d’anxiété font mal. Mentalement, mais aussi physiquement.

Certains pourraient dire que la douleur émotionnelle est encore ce qu’il y a de pire — mais la plupart des gens savent cela, sans savoir qu’il existe aussi une douleur physique. Alors, surprise ! L’anxiété fait mal. Lors des crises de panique, on sent notre poitrine se serrer au point d’avoir l’impression que nos poumons vont exploser, comme si on ne pouvait plus respirer. L’anxiété peut aussi donner des migraines, des nausées, palpitations cardiaques, tension musculaire, insomnies, épuisement, vertiges… Certaines personnes ont le sentiment de se faire arracher les boyaux, d’autres contractent leurs muscles tellement fort que leur corps entier se retrouve courbaturé.

Oui, ça fait mal. Ça ne fait pas mal de la même manière pour tout le monde, mais ça fait mal.

  • Nous ne sommes pas tous égaux devant l’anxiété.

Il n’y a pas qu’un seul type d’anxiété, mais bien une multitude de types d’anxiété différentes — et chaque personne peut vivre l’anxiété à sa façon. Certaines personnes souffrent d’anxiété sociale, d’autres ont des troubles de l’anxiété généralisés, d’autres encore ont des phobies bien précises. Certains souffrent de l’anxiété à cause de leurs gènes, d’autres développent l’anxiété à cause de certains événements dans leur vie. Pour certains, l’anxiété est simplement due aux réactions chimiques dans leur cerveau. Certains seront anxieux toute leur vie et n’y pourront rien, pour d’autres ce ne sera qu’un passage dans leur vie. Certains arriveront à surmonter l’anxiété et à trouver un moyen de la rendre plus acceptable. Il y a des personnes qui prennent des médicaments, et des personnes qui n’en prennent pas. C’est comme ça.

  • L’anxiété et la dépression sont liées.

Bien sûr, toutes les personnes anxieuses ne sont pas forcément dépressives, et toutes les personnes dépressives ne sont pas forcément anxieuses. Mais les deux sont des compagnons communs — et l’un peut guider l’autre.

Bien sûr, je pense que beaucoup de personnes savent déjà cela… Mais je veux que vous réalisiez que les personnes qui souffrent de cela le savent, eux aussi. Nous en sommes très conscients, et cela peut même nous rendre extrêmement anxieux ou déprimés (et pour le coup, c’est une peur plutôt rationnelle, quand on sait ce qu’implique la dépression !)

  • Sauf si on vous y invite de manière explicite, quand il s’agit de l’anxiété d’une autre personne, vous feriez mieux d’écouter plutôt que de parler.

Vous savez, quand vous dites quelque chose de méchant sur quelqu’un de votre famille, mais que si une autre personne que vous le disait, vous auriez envie de lui casser la figure ? Eh bien c’est pareil.

Aussi — et ça devrait aller sans dire, — ce n’est jamais une bonne idée de parler de la santé mentale de quelqu’un avec une autre personne sans qu’il le sache. Si quelqu’un s’est ouvert à vous et vous a dit quelque chose à propos de lui-même, surtout ce genre de chose, cela ne veut pas dire qu’ils ont envie que d’autres personnes le sachent. Ce genre de problème est encore fortement stigmatisé, et beaucoup sont ceux qui ne souhaitent pas vraiment sachent ce qu’ils vivent au quotidien. Pour certains, c’est même justement l’une des choses qui les rend le plus anxieux. Alors, il vaut mieux éviter ça.

  • Aussi frustrants, insupportables, suffocants, épuisants et déchirants qu’ils soient, nos expériences et nos problèmes avec l’anxiété font partie intégrante de nous, et nous ne serions pas totalement nous-mêmes sans eux.

C’est, je pense, une chose que les gens qui souffrent de troubles de l’anxiété (moi y compris) ont du mal à comprendre et à appréhender. Nous passons tellement de temps à essayer de combattre cet ennemi intérieur que cela peut devenir comme une seconde forme de conscience au sein même de notre cerveau : Un combat que nous devons mener sans cesse, afin d’espérer vivre une vie remplie, heureuse et productive. Mais la réalité de la situation, comme toujours, est un peu plus complexe que cela.

Même si l’anxiété est une chose que nous devons gérer au quotidien, elle n’en reste pas moins une partie intégrante de nous. Elle nous influence dans les choix que nous faisons, dans notre manière de voir le monde, elle façonne même petit à petit notre personnalité.

La voir uniquement comme un ennemi ou une chose à soigner, c’est rejeter cette partie de nous et lui retirer toute valeur.

C’est difficile à accepter, et pourtant cela peut faire énormément de bien. Il est tout à fait acceptable d’être une personne anxieuse, et il n’y a aucune honte à avoir.

Et finalement, la chose la plus importante que les gens devraient savoir :

  •  Si vous connaissez quelqu’un qui souffre de cela, demandez-leur ce que vous pouvez faire pour les aider, idéalement à un moment où ils ne sont pas en pleine crise de panique.

La pire chose que vous puissiez faire, c’est d’en rajouter une couche… Et c’est plutôt délicat, car vous pourriez le faire sans même vous en rendre compte. Les personnes qui souffrent de ce genre de trouble sont souvent hypersensibles et perçoivent beaucoup de choses dans les comportements des autres. C’est peut-être aussi cela qui conduit à l’angoisse — le fait de percevoir, justement, trop de choses.

La frustration que vous ressentez face à nos pensées qui partent en sucette, votre fatigue, le fait que vous nous trouviez difficiles à supporter, votre agacement, votre désir que nous puissions tout simplement nous arrêter quand nous faisons une crise : Nous savons que vous ressentez ces choses. Cela se voit comme le nez au milieu de la figure. Et puis, nous ressentons cela aussi envers nous-mêmes, ne l’oubliez pas. Nous aussi, nous sommes frustrés, fatigués, énervés envers nous-mêmes. Et nous aussi, nous aimerions vraiment pouvoir tout simplement nous arrêter au beau milieu d’une crise. En fait, la seule différence entre vous et nous, c’est que nous ressentons cela tout le temps. C’est pourquoi nous comprenons ce que vous ressentez à notre égard, et nous ne vous en voulons pas pour ça — c’est même tout à fait normal.

Et si vous demandez et que la personne ne sait tout simplement pas ce dont elle a besoin, sachez que tout le monde a besoin d’amour, surtout ceux qui ont tendance à ne pas s’aimer eux-mêmes à la base. Vraiment, c’est parfois surprenant à quel point des petites choses peuvent tout changer : Un sourire, un petit mot rassurant, un compliment, un sandwich…

L’amour et l’affection, voilà ce qu’il faut. C’est en général difficile de se tromper, avec ces choses-là.

Source : http://www.vox.com/